Tu es l’œil de Dieu qui te regarde
Le visage de l’autre est en toi
L’espace ne contient pas, il prend garde
Ce qui se préserve s’élève en émoi
Alors cherche le sens de ce qui t’apparait
A pleine main, en désire de toi et démêle
Les écheveaux, l’âpre songe du réveil et l’injuste
Et tisse à tire d’aile, et brode tes effets
Tous les anges sont à toi, il n’y a pas de trône sans roi
C’est là l’ultime secret de la joie
Les commentaires sont fermés.