
Miraculeuses en leur durée.
Aux Neufs lumières, oriflammes, des neufs jeunes chevaliers,
Miraculeuses en leur humanité.
De l’un à l’autre,
Et des autres à l’Un
Neuf Lumières, dignes hyacinthes du Chandelier,
Miraculeuses en leur durée
Aux lumières, oriflammes, des neufs jeunes chevaliers,
Miraculeuses en leur humanité
De la purification
A la spiritualisation
De la cristallisation, secret protégé des ailes,
A la diffusion, vitale, essentielle…
De la violence qui fait du temple des Ruines
Pour que l’espoir règne en toutes les nations…
En présence, c’est un Paradoxe,
Maudites braises d’ignorances, vitales et nécessaires,
Elles seules en leurs puissantes faiblesses éphémères,
Peuvent abattre les coupables de l’avoir,
Ces gardiens de Dieu, jusqu’à l’égoïsme,
Nécessaire brisure de leur lignée, d’âge en âge,
Révèle, renouvèle, et nourrie de noir, le partage
Nécessaire torture, au feu froid,…
Le feu de l’accusateur libéré déshumanise,
L’Un et l’autre en chacun, tout se brise,
Ainsi se retire l’Or… Nulle emprise…
Rien d’autre ne peut faire croitre son appel
Pour son retour en Roy, perçant les nuages,
Lys et crapaud, comme cheveux, cristal des songes
Le temps n’existe que par le retrait de l’Éternel
Toutes matières, même les trésors, en gardent la fange
Ce qui ne peut se dire est tissé par les anges
Ainsi se porte le mystère du Temple
Il passe de génération en Génération,
Déplaçant les formes, fidèle de Sion,
Allant évoluant, charriant l’espoir ample,
Toujours plus en Force, en Beauté et Sagesse…
Les dés en donnent le chiffre !