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		 Perce jusqu’à l’Éther, toi qui bénie sans périr…
Perce jusqu’à l’Éther, toi qui bénie sans périr…
Elle s’étire comme pour toucher le ciel,
Ses bras nus évoquent si bien ces arbres
A ma fenêtre, ils prient les ombres et l’éveil
Presque immobiles, par la force sereine
Elle tourne son regard et de la mort sabre
Rien ne l’effleure, ses ailes fluides égrainent
La science des parfaits retours, l’amour
La danse, le feu secret dans la Tour
Lamed, pendu de joie, ton attente est désir
Perce jusqu’à l’Éther, toi qui bénie sans périr…
Bruno Fouchereau
bruno.fou@free.fr