La condition première et ultime
C’est accomplir une danse infinie
Alors écoute le chemin dont l’hymne
Palpite dans l’offrande et l’esprit
Rien n’aura été recueilli en vain,
Car il ne suffit pas le tamis de la vie
Où tous passent et repassent sans fin
Par le furieux fleuve aux mille lits,
Encore faut-il faire la rencontre des âmes sœurs,
Délicieux miroirs, grâces du destin,
Par elles, l’Or de vie se cristallise, et frappe du bonheur,
Et règne sans fin, en victoire du matin…