Élan, tes ailes ne souffrent pas le moindre calcul
Le souffle se condamne dans les métaux
Le chemin s’efface sous les pas et l’esprit recule
Si du verbe tu momifies le fluide des mots
L’oubli d’être efface tout pourvoir
Guérir est possible si rien n’est retranché
Ce n’est pas la lumière qui donne à voir
Mais le regard qui porte la clarté
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