Le geste du « M », geste aimé de l’Ordre Royal de Mélusine…

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  • Prise de parole de Bruno Fouchereau, lors du banquet donné pour le chapitre confraternel de « l’Ordre Royal de Mélusine » et de « l’Ordre International de la Table Ronde du Roi Arthur » en sa Branche Anjou-Plantagenet.
  • Prose poétique au sujet du geste du « M ». Geste aussi appelé dans les milieux universitaires : « Geste Pseudo-zygodactyle ». L’iconographie, en bas, est celle présentée en « exposition » lors du banquet.

Lors du banquet, un texte d’instruction au sujet de ce geste « M » fut distribué aux participants, contenant des références de travaux et une analyse sur le plan mythologique, il peut être demandé à l’auteur : bruno.fou@free.fr


Nobles dames, honorables Sires, Chevaleresses, chevaliers,…

 

C’est la forme d’aujourd’hui, mais qu’importe,

Juste et nécessaire est que cela se passe,

Et que cela passe de l’un à l’autre.

Demain une autre forme,

Si la nécessité fait rage,

Prendra la place, surviendra et semblera régner.

Tous le sens Merveilleux du Geste du “M” est là…

Il nous parle de la voix lactée,

De cette part de Divin qui fait notre mission Terrestre

Des psaumes d’Asaf, de notre création,

De notre finitude face à l’absolu.

M, de magnifique

M, de musique

M, de miracle

M, de Marie

M, de Madeleine

M, de Jérusalem

M, de Mélusine…

Et les lettres tournent, révèlent leur part de lumière Éxaltée !

Cassiopée au ciel nous montre la danse

Le Geste du “M” est aussi celui du “W”…

Dans le mille feuilles de nos expériences,

Le Geste du “M” viendra vous parler,

Au détour d’une promenade,

Dans le tableau d’un antique retable,

Ou une sculpture d’un parc Romantique…

Dès lors, dès aujourd’hui, il vous appartient d’entendre

Ses cris et chuchotement…

Permettez moi de rappeler pour finir quelques mots d’Homère,

Ceux qu’il fit prononcer à Circé accueillant Ulysse et ses compagnons :

“… Nous allons manger des mets et buvez du vin, jusqu’à ce que vous ayez repris en vos poitrines le même courage qui vous fit aux premiers temps quitter votre patrie, la rocheuse Ithaque… Vous êtes aujourd’hui sans vigueur, sans ressort, il vous souvient toujours, des dures courses errantes, et jamais votre cœur n’est en joie, tant vous avez souffert…”