Il frappe le métal de nos âmes soumises au brasier
 Tumultes d’ignorances de nos ivres et fétides passions
 Il frappe et explose la gangue, infernal baiser,
 Il sépare le juste de l’injuste, au rythme de Sion,
 Bercé par Mélusine et ses mélopées attentives, tant aimée
 Il frappe, laissant fumantes, inertes, les meurtrières illusions
 Hélas, toutes meurtrières de la belle et grande humanité
Il frappe, sans perdre espoir, bientôt s’effaçant le titanesque voile,
 Offrira les lumières dorées des Atlantes repenties revenus de l’étoile
 Alors s’imposera, de déchirure en déchirure, la gloire de tous les possibles,
 Alors du métal blanc absolu et complet, victorieux mais humble,
 Naîtra l’épée, par la foudre sublime, héritière d’Excalibur
 Par sa puissance, fille de Durandal, par sa vertu créatrice de futurs,
 Riche comme celle de Gallaad, lame forgée au soleil salomonien,
 Glaive de justice en parfait retour… Spirale de joie !
Frères du temple sacré, brodez vos habits, le temps chemine !



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