Par les cinq indépendant, à leur point d’infini
A leur paroxysme, dans l’unique et les multiples
Là, je peux être pour exister en éternité d’esprit
Il faut être avant d’exister, là se tient le flux de vie
Sur le bord du gouffre, en ma fin, là s’éteint le périple
Même les pierres servent alors par la grâce des 5 arbres
élevés hors de l’hiver, hors de l’été, des temps et de la faim
Cinq arbres que mes cinq indépendant perçoivent enfin
Lorsque les yeux voient à travers le visible des ombres
Lorsque les oreilles entendent le silence des bruyances
Lorsque ma bouche goûte à l’essence du fruit sans pénitence
Lorsque ma main caresse autant qu’elle donne sans créance
Lorsque le parfum guide, nature sublime, élévation en présence