Je suis devenu Deux, m’extirpant de l’incréé, ce « Un » éternel
Dans le lit de mes pensées, la rivière du vivant s’écoule
J’observe ce qui se manifeste et qui n’est que moment du réel
Ce qui est composé n’a de devenir que dans l’abîme et roule
Mais mon être est d’aventure une mère
Tous et, je, font force, c’est l’espoir de la grande gorge
Celle avalante de mort de tout et les Aether
En font du vivant, nourrissant la rage…
Quoi la rage ? Mais oui la rage ! De revenir en majesté…
Revenir pour s’unir, alors en conscience
Seul le sage entend ce mot des sciences
Trois fois justes pour vivre LA félicité