Le Roy des montagnes vides

Tu crois vivre sans avoir à l’aimer
Tu voudrais, c’est ta bête féroce
Tu es maître du rien, rutilante farce
Tu restes gorgé de mort, mécanique, empaquetée, …lire la suite !…
Tu crois vivre sans avoir à l’aimer
Tu voudrais, c’est ta bête féroce
Tu es maître du rien, rutilante farce
Tu restes gorgé de mort, mécanique, empaquetée, …lire la suite !…
Une réponse vibre en mon cœur : « écrire doucement, un humble filet de lettres, mais résoudre dans le geste d’émettre des signes, ce que le temps questionne. »
Alors que l’automne s’installe, les méditations en gloire s’épurent. Seul l’encens sait se conjuguer à la lumière, c’est ainsi que le verbe rend hommage. Du solstice à l’équinoxe, L’étincelle fondamentale c’est la promesse de l’arrêt. La boucle du temps en fait la tendre promesse. Unique passage obligé des milles et un chemins de renaissance… …lire la suite !…
C’est un Souffle saint du présent, sans peur, Lorsque la lumière n’est plus informe Messager des mystères cruciformes, Son feu s’exprime en blancheur, Claire beauté, volute et volupté, Onde de vérité, danse de l’aimée Car la vérité ne peut être nue Nue, elle nous serait invisible La vérité … …lire la suite !…
Lâcher de poème au carré des tombes juives du cimetière du Père-Lachaise (Paris 19e) en écho à sa lecture le soir même à “l’Atelier Z” : En ce matin du 5 novembre 2013, les trois dalles d’ardoise ont été posées sur un arbre qui en son tronc porte vivante une vierge noire. A l’angle d’un mur, presqu’à vue de là où repose la supposée dépouille de Gérard de Nerval passé, par la violence illuminatrice d’un éclair, à l’Orient véritable. A quelques tombes de là où le chef du Grand Sanhédrin reconstitué par Napoléon dort en rêvant que l’horreur moderne et industrielle vécue par d’autres du lieu ne sera pas une nouvelle fois à l’ordre de notre temps… …lire la suite !…
… A l’occasion de cette lecture de mon poème « Des blessures à l’ultime Merveille » à « l’Atelier Z » (Paris 17) le 5 novembre à 18h, dans la matinée du même jour, je lâcherai le dit poème au cimetière du Père-Lachaise au cours d’une métapsychicoperformenceconférence… Pour le RV prenez contact soit par mail : bruno.fou@free.fr soit sur l’EvMnT facebook : https://www.facebook.com/events/1424164864463332/ …lire la suite !…
La condition première et ultime C’est accomplir une danse infinie Alors écoute le chemin dont l’hymne Palpite dans l’offrande et l’esprit Rien n’aura été recueilli en vain, Car il ne suffit pas le tamis de la vie Où tous passent et repassent sans fin Par le furieux fleuve aux mille … …lire la suite !…
Avant que la nuit ne viennent, le corbeau de flammes embrasé, en amour toucha la surface où tout se reflète, éternité, petite misère et danse des sentiment futiles, sources des grâces… L’aile flamme donc, toucha la surface frontière d’un monde et son double, là où tout devient possible, transfigurable, ressucitable, c’est là la seule table des lois… …lire la suite !…
La marche du temps eut ceci de douce, qu’elle m’a permis d’observer le décor de ce monde en divers postes de vigie. Dans cette même incarnation il m’a été donné de vivre plusieurs vies et je brûle de ces expériences et me calcine en toujours plus de curiosité pour les … …lire la suite !…
En résonance aux 7 lâchés de poèmes sur ces terres dont Mélusine est la fée tutélaire, il s’agissait de placer le Huit, pour que le chapeau du bateleur exprime l’aube renaissante dont le Lac d’Amour est l’écho humain. Cette fin de cycle personnel, proto-mystagogie offerte en partage, imposa le lieu … …lire la suite !…