Elle veille pour ceux qui entrent sur le chemin des grands champs
Ceux guidés par la parole alors qu’ils ne sont qu’enfants
Elle veille, celle qui déjà, de ses ailes en amour offertes, est indéfectible
Regarder au-delà de son nom inscrit dans les tablettes romaines insensibles
C’est sur Marie-Madeleine en premier que la lumière s’étend,
C’est aussi Mélusine, Isthar et Isis, la déesse de la mine d’Amour, l’espoir du troubadour
C’est elle que nous, gamins, suivons en jouant nus dans les grands champs
Attention aux voleurs de temps, ils raviront les fruits à venir
Si tu sais cela veille à conserver l’union pour que rien ne puisse subvenir