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Ton aile si dense frappe encore mon esprit
S’avance en rituel le fleuve des vœux
Ma main aux lignes immenses, perçoit le cri,
Au cœur du craquement écarlate,
étincelle, firmament voluptueux
Sur ma peau d’étoiles je lie l’autre,
Le long éclair s’installe, éternel
Seconde invinsible, retour secret de l’apôtre
Mon esprit, ma main, ton aile,
Ton aile, si dense frappe et frappe sans fin…
… Je suis là où nature fait !
Terrible, magnifique, le vrai festin
Ne limite plus ses effets